J’vous en remet une couche

« So no akta gamat » jamais sans ma permission,  tirée du film le cinquième élément de  Luc BESSON.

En ces périodes où il faut encore rédiger des lois répressibles pour réaffirmer des droits de liberté d’expression et pire encore contre l’esclavagisme physique et psychologique.

Le moment est propice à retrouver notre confiance en soi. De proclamer « jamais sans ma permission », vous ne ferez pas ce que vous voulez, je ne suis pas dupe, je vois votre manège, vos ficelles ne sont plus invisibles.

Ce n’est pas un discours politique, c’est un discours de prise de conscience, et tout le monde connait  l’histoire de la grenouille dans de l’eau chaude! (Olivier Clerc, La grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite)

Travailler sur mes valeurs, sur ma perception des choses, me mettre en mode grand angle (élargir ma vision), mérite de s’y attarder un moment et même plus.

Le nombre de  burn out  et autres maladies psychosomatiques augmentent de jour en jour. C’est très bien pour l’industrie pharmaceutique, cela crée des emplois et double leur C.A. Le problème, une fois touché on n’en sort pas indemne, cela laisse des traces, des cicatrices, des fissures et on y entraine  nos familles, nos proches par la même occasion.

Comme dit le proverbe mieux vaut prévenir que guérir.

Prenez soins de vous, ne laissez pas les autres faire vos choix, faites-vous confiance.

La sophrologie n’est pas un monde de bisounours où règne féerie et utopie, se sont des outils, des techniques, des armes psychologiques adaptées pour se protéger et tenter de faire évoluer nos mentalités.

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